
Auteur des textes et photos : Michel Trouillet
Situation géographique : département Puy-de-Dôme / région Auvergne-Rhône-Alpes / France
Date de la prise de vue : septembre 2021
Moment : après midi par temps orageux, nuages et soleil intermittents
Situation géographique : Google Maps
Histoire d’un lieu : la Tour d’Auvergne
Données techniques : Canon G12 pour les photos sol et Gopro Hero4 black pour le KAP embarqué
Type de cerf-volant : Roloplan (création artisanale), Delta Conyne de 3m80, Photocam Pelybox modifié (création artisanale)
Force et direction du vent : vent d’ouest faible et intermittent (0 à 5 km/h)
Altitude : 15 à 50 m
Ce que nous avons aimé :
La très belle surprise dans la découverte de cet endroit, éligible pour une carte postale voir un poster bucolique.
Le village perché ouvert sur son lac et une perspective sur le parc des volcans qui a de quoi séduire les photographes, les touristes et, pourquoi pas, un médecin qui souhaiterait s’établir ici.
L’accueil de l’aire de camping-car offerte gracieusement par la municipalité.
Les infrastructures sportives et les sentiers de randonnées.
Histoire d’une photo
En périple sur les volcans d’Auvergne et déçu par 10 jours de pluie interdisant toutes sorties aérophotographiques, la soirée en camping-car, près du château de Murol (une autre séance manquée de KAP au-dessus du château de kaamelott), s’était prolongée devant la télé.
Jamais je n’aurai imaginé qu’Elise Lucet allait déterminer mon prochain point de chute en Auvergne. Son invité, Yannick Tournadre, maire de La Tour-d’Auvergne, déplorait le désert médical de sa région et l’inquiétude de ses administrés privés de médecin.
Du jour au lendemain, j’étais donc promu « Envoyé spécial » et en cerf-volant, s’il vous plait. Pas question de rechercher un médecin pour la Tour d’Auvergne, mais seulement satisfaire ma curiosité de découvrir ce village boudé par les professionnels de la santé.
Malgré un ciel menaçant, malgré un soleil espiègle jouant à cache-cache, malgré le manque de vent et de lumière… mon arrivée à la Tour d’Auvergne fut un effet « Whaou ! »
Comment ne pas être séduit par cet endroit, les quelques imparfaites photos de mon reportage témoignent d’une jolie surprise. Pour le KAP, sans vent, j’ai en désespoir de cause tenté un ultime envol sur le terrain de foot, avec une caméra embarquée dans un cerf-volant cellulaire.
En attendant de revenir plus longuement dans ce charmant coin de France et d’Auvergne, ma démarche sera peut-être une modeste contribution pour donner envie au médecin, tant désiré, de venir s’installer ici.
MT
cela me rappel de bons souvenirs
J’aimeJ’aime